Mécanique

L’industrie automobile évolue à un rythme effréné, avec des véhicules toujours plus connectés et sophistiqués. Mais derrière cette révolution technologique se cache une problématique qui gagne en importance : le phénomène du "VIN Lock". Ce verrouillage des pièces en fonction du numéro de série du véhicule (VIN, pour Vehicle Identification Number) pose un défi majeur, notamment pour les ateliers de réparation indépendants et l’industrie de l’après-marché. Voici pourquoi ce sujet est au cœur des préoccupations des professionnels du secteur.

Dans le secteur automobile, l’entretien préventif est devenu un enjeu crucial pour les ateliers et leurs clients. Les véhicules étant de plus en plus complexes, les propriétaires s’attendent à des bilans complets lors de leurs visites à l’atelier. Cela soulève cette question : comment les ateliers peuvent-ils répondre à ces attentes tout en optimisant leur efficacité?

Voilà déjà plus de trente-cinq ans que l’Association des Journalistes Automobile du Canada (AJAC) choisit ce que ses
membres considèrent l’Auto de l’année (et, plus récemment, l’Utilitaire de l’année). En fait, les archives de cette organisation nous indiquent que son premier choix hors-tout fut annoncé en 1987 : la Pontiac Bonneville! Nous voilà donc rendus au choix de 2025 et encore une fois, une soixantaine de membres actifs de cette association se sont rencontrés en octobre dernier pour essayer plus d’une trentaine de nouveautés qui venaient d’arriver sur le marché. Cette réunion de trois jours s’est déroulée dans la région de Mono au nord de Toronto. 

« Quand nous rénovons nos installations, nous aimons être les précurseurs dans notre domaine et donc, cela implique une recherche approfondie des fonctionnements de l’industrie. », nous a confié Norman John Hébert, le président et chef de l’exploitation du Groupe Park Avenue. Ce groupe opère 16 concessionnaires dans la région de Montréal. C’est avec grande fierté que M. Hébert fait valoir leur savoir-faire via d’autres concessions qui ont été pionnières respectives dans le monde automobile; Audi de Brossard, qui était la première de son genre en Amérique du Nord et Volvo Brossard qui n’était que la deuxième VRSE (Volvo Retail Sustainable Experience) au Canada!

Les salons AAPEX (Automotive Aftermarket Products Expo) et SEMA (Specialty Equipment Market Association) sont deux événements majeurs qui se déroulent chaque année à Las Vegas, attirant des milliers de professionnels de l’industrie automobile du monde entier. Ces salons, bien que distincts, sont souvent considérés comme complémentaires, offrant une plateforme où les acteurs du marché peuvent se rencontrer, échanger des idées et découvrir les dernières innovations dans le domaine de l’après-vente automobile et des équipements spécialisés.

Le Comité Paritaire de l’industrie des services automobiles et lourds a récemment annoncé l’ouverture de son nouveau centre de formation à Lévis, dans le secteur Saint-Nicolas. Cette initiative répond à une demande croissante des professionnels de la région, désireux de bénéficier de formations de qualité sans avoir à traverser le fleuve. Les besoins des assujettis de la Rive-Sud ont été entendus et des efforts considérables ont été déployés pour mettre en place ce centre.

Une nouvelle ère s'ouvre pour le conseil d'administration du Comité paritaire de l'industrie des services automobiles de la région de Montréal (CPA Montréal) avec l'arrivée de Mme Alina Purice, première femme à y siéger. Diplômée en relations industrielles à l’Université de Montréal, Mme Purice apporte, avec son expertise en ressources humaines et relations de travail, une perspective différente et novatrice à ce secteur traditionnellement masculin.

Depuis plus de 22 ans, Sylvain Pelletier assure l’application du décret ainsi que l’information et la représentation auprès des employeurs, des centres de formation professionnelle (CFP), des autres CPA ainsi qu’aux Services aux entreprises (SAE).

Martin Gagné fait partie de l’équipe du CPA Lanaudière-Laurentides depuis 2007, où il a d’abord exercé en tant que formateur, avant d’assumer, depuis 2018, le rôle de coordonnateur à la formation.