Selon une nouvelle parue dans la très fiable publication Automotive News, le constructeur vietnamien VinFast serait sur le point de fermer la moitié de ses salles d’exposition canadiennes afin de « réviser ses ressources et améliorer ses performances à long terme »
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Difficile de parler de parcs automobiles sans mentionner l’inévitable pick-up F-150 de Ford, la marque de véhicules la plus vendue au pays. Vu qu’il y a une douzaine de versions de F-150 (sans compter les Lightning électriques et les plus robustes F Super Duty 250 à 750), le constructeur m’a récemment confié une des versions les plus représentatives de la marque soit un F-150 Super Crew à quatre portes et quatre roues motrices.
Bien que le petit VUS sportif RDX conserve la même silhouette depuis quelques années, Acura lui apporte, en 2025, quelques retouches bienvenues, notamment une calandre redessinée et des phares modernisés. Inspiré de loin du très populaire CR-V de Honda, le RDX affiche toutefois un design distinctif, fidèle à la signature visuelle d’Acura.
Le Mitsubishi Eclipse Cross GT 2024 propose une expérience élégante parmi les VUS compacts, avec une transmission intégrale de série, un intérieur confortable et la meilleure garantie de l’industrie. Toutefois, ses performances et sa consommation de carburant restent en retrait face à la concurrence.
Si vous avez suivi notre reportage sur le concours des Véhicules de l’année selon l’Association des Journalistes Automobile du Canada (AJAC) dans nos deux numéros précédents, vous avez droit de vous attendre au résultat final. Et c’est ce que nous vous présentons cette fois alors que l’AJAC a finalement dévoilé ses quatre lauréats au tout dernier Salon international de l’auto au Canada qui s’est déroulé en février à Toronto. De la douzaine de véhicules finissants exposés au Salon de Montréal en janvier dernier, il n’en reste plus que quatre et les voici :
La province de Québec n’a jamais été un terreau fertile pour l’industrie automobile au Canada. Historiquement, c’est en Ontario que ce secteur s’est enraciné, un choix dicté par des considérations pratiques et géographiques. Dès les années 1900, des entrepreneurs de Détroit, (notamment Henry Ford), ont compris qu’il serait plus simple et plus efficace de produire certains modèles populaires de ce côté-ci de la frontière, en Ontario, plutôt que de composer avec les complexités douanières et administratives liées à l’exportation vers le marché canadien. De plus, la logistique de transport y était nettement plus avantageuse.